Histoire Ancienne Des Egyptiens, Des Carthaginois, Des Assyriens, Des Babyloniens, Des Medes Et Des Perses, Des Macedoniens, Des Grecs, Volumen11,Tema 2freres Estienne, 1757 - 2 páginas |
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Términos y frases comunes
affez affiégés aiant ainfi Athénes auffi Aulu-Gelle avoient avoit bataille befoin Bélier c'eft c'eſt c'étoit camp Carthaginois caufe Cavalerie Céfar cens chofe Cicéron citoiens combat compofé confidérables Conful connoiffance deffus déja difciples difcours différens diftingués Domitius Afer efprit eftimés enfans Epift eſt étoient étoit faifoient faifoit faloit fans fcience fecond fecours felon femble fent fervir feulement fiécle fiége fimple foffé foient foin foit foldats folide font forte fous fouvent ftile fuccès fuite fuivi fujet Gorgias Grammaire Grammairiens Grecs hommes ipfa Jeuneffe jufqu'à l'armée l'efprit l'éloquence l'ufage laiffer langue Latins lontems machines maniére ment moien n'eft Ouvrage paffer paroit perfonnes Périclès Philofophie piés Pline plufieurs pofé Polybe pouvoit prefque premiére Protagore quæ quàm Quintil Quintilien raifon rangs de rames raport refte Rhéteurs Rhétorique Romains Rome ſes Sophiftes Suétone tems teur tion Tite-Live troifiéme troupes ufage vaiffeaux
Pasajes populares
Página 578 - ... cette invention merveilleuse de composer de vingt-cinq ou trente sons cette infinie variété de mots, qui, n'ayant rien de semblable en eux-mêmes à ce qui se passe dans notre esprit, ne laissent pas d'en découvrir aux autres tout le secret, et de faire entendre à ceux qui n'y peuvent pénétrer, tout ce que nous concevons, et tous les divers mouvements de notre âme.
Página 506 - ... par de la terre. Car alors ni les béliers , ni les mines , ni toutes les autres machines , ne les peuvent ébranler.
Página 576 - Et c'est d'eux que nous vient cet art ingénieux De peindre la parole et de parler aux yeux; Et, par les traits divers de figures tracées, Donner de la couleur et du corps aux pensées i.
Página 780 - Libanius avait de la noblesse de sentiment, et qu'il était touché de l'amour du bien public. « Je ne « vous félicite point, lui dit-il, sur ce que le gouvernement de « la ville vous a été donné ; mais je félicite la ville sur le choix « qu'elle a fait de votre personne pour cette importante place. « Vous n'avez pas besoin de nouvelles dignités ; mais elle a « grand besoin d'avoir un gouverneur tel que vous.
Página 422 - aux tentes il ya 200 pieds de distance; cet espace sert à faciliter l'entrée et la sortie des troupes. On y met aussi les bestiaux et tout ce qu'on prend sur l'ennemi. Un autre avantage considérable, c'est que, dans les attaques de nuit, il n'ya ni feu ni trait qui puisse arriver aux tentes, si ce n'est très-rarement. « S'il arrive que quatre légions et deux consuls campent ensemble, la disposition est la même pour l'une et l'autre armée; seulement il faut s'imaginer deux armées tournées...
Página 693 - On appelloit ainfi des cpmpofitions par lesquelles on s'exerçoit à l'Eloquence , & dont les fujets , vrais ou inventés , étoient tantôt dans le genre Délibératif , tantôt dans le Judiciaire , rarement dans le Démonftratif. Les difcours que l'on faifoit fur ces fujets , étoient une image de ce qui fepafle dans les Confeils ou au Barreau.
Página 407 - Pline loue Trajan de s'être accoutumé de bonne heure à marcher à pied , à la tête des légions qu'il commandoit , fans jamais faire aucun ufage , ni de char , ni de cheval , quoiqu'il eût d'immenfes elpaces de pais à parcourir ; &t il en ufa toujours de la forte , depuis même qu'il fut devenu Empereur.
Página 442 - ... entièrement cette crainte gravée dans le fond de la nature , du moins de la combattre & de la vaincre. Ces motifs , tels que...
Página 727 - Cette rhétorique est renfermée en douze livres. Dans le premier il traite de la manière dont il faut élever les enfans dès l'âge le plus tendre, puis de ce qui regarde la grammaire. Le second expose ce qui...
Página 451 - Général aiTembloit les officiers , & après leur avoir expofé ce qu'il fouhaitoit qu'on dît aux troupes de fa part , il les renvoyoit chacun dans leurs corps ou dans leurs compagnies , pour leur faire le raport de ce qu'ils avoient entendu, & pour les animer au combat. Au refte , cette coutume de haranguer les troupes a .duré long temps chez les romains , comme le prouvent les allocutions militaires repréfcntées fur les médailles.